Il n’y a pas de bons ou de mauvais motifs de consultation.

Tout ce qui nous questionne, tout ce qui est
source de souffrance justifie cette démarche.

Dépressions, troubles anxieux, ou en-deçà du diagnostic: mal de vivre, mal à être.

Ou simplement, par exemple,  le désir de mieux se connaître.

Les symptômes peuvent être la manifestation visible d’une souffrance plus profonde, plus
ancienne, dont le sujet n’est pas toujours conscient. Cette souffrance que la psychothérapie
va tenter de comprendre et de soulager.

Mon parcours professionnel a croisé les chemins de problématiques autour des addictions (j’ai animé des groupes de malades alcooliques et j’ai travaillé dans le champ de la toxicomanie) mais aussi de la souffrance au travail (en hôpital général). J’ai suivi de nombreux adolescents et jeunes adultes en psychothérapie et dans le cadre de bilans psychologiques pour des orientations (par exemple professionnelles) ou des choix de vie.

J’ai répondu à de nombreuses demandes  de diagnostics différentiels de la part de médecins.

J’ai travaillé dans le cadre du handicap, avec de nombreux usagers d’IME, autour des violences intrafamiliales et dans le cadre plus général du traumatisme.

Bien évidemment, les questions du deuil et des séparations ont parties liées  à de nombreuses problématiques autour de la dépression, et  ce travail autour du manque participe au travail d’accompagnement du psychologue.

Mais la demande  de chacun est singulière :  il n’y a pas de bonne ou mauvaise indication pour consulter, c’est à dire, d’une certaine façon, pour voyager,  accompagné et guidé  par un professionnel. Ainsi le consultant peut s’ouvrir à lui-même et se trouver au terme d’un voyage qui réserve des surprises.

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